Ici, vous pouvez parler des miniatures Citroën.
06.09.10
62ème Rallye du Mont Blanc : la CITROËN DS3 R3 a conquis la FranceDe nouveau, la DS3 R3 a brillé. Pour sa deuxième course, la petite dernière de la marque tout juste sortie des ateliers Citroën Racing avait choisi la France et les routes atypiques du Rallye du Mont Blanc. Meilleure « deux roues motrices », elle rafle la victoire dans le groupe R et se positionne directement à la 11ème place du classement général final de l’épreuve.
La DS3 R3 était très attendue, ce week-end, sur le terrain spécifique haut savoyard. Son nom était sur toutes les bouches et le plateau engagé comptait pléthore de grosses autos bien décidées à ne pas la laisser s’immiscer dans le haut du classement. Pourtant, une fois de plus, la DS3 avait rendez-vous avec la performance et a prouvée sa capacité d’adaptation sur un profil totalement différent de ce qu’elle avait connue lors de sa première prestation en Irlande.
Pour cette 62ème édition, le soleil s’était invité venant irradier les alpages majestueux du massif du Mont-Blanc. Menée par l’équipage Kris Meeke / Paul Nagle, la DS3 R3 mettait tout le monde d’accord dés les 12 kilomètres de « Montriond le Lac » en signant le meilleur temps de la catégorie. Evoluant crescendo, elle caracolait à la troisième place du groupe R à l’arrivée du premier tour matinal. L’après-midi, elle haussait le ton en alignant plusieurs meilleurs temps. A l’issue de la première journée, elle prenait la tête des « deux roues motrice » et n’allait plus la quitter jusqu’à la fin du rallye. Le samedi, elle poursuivait sa quête et améliorait ses chronos au fil des kilomètres en creusant l‘écart avec ses adversaires tout en gagnant des places au classement général. Elle s’offrait même un neuvième temps scratch dans la redoutable et redoutée spéciale de « Samoëns-Joux Plane » avant de clôturer une course parfaite lui permettant de se hisser sur la première marche du podium du groupe R.
« La DS3 R3 est bien née. En seulement deux courses, elle affiche deux victoires au compteur » confie Frédéric Bertrand, responsable de la compétition client Citroën Racing. « Kris a fait un super rallye. Il a montré que la voiture est compétitive et fiable d’autant que le niveau était, une fois de plus, très relevé sur cette cinquième manche du Championnat de France. Nous avons procédé à quelques ajustements dans le réglage des suspensions et des freins et nous attendons avec impatience les prochaines courses pour voir comment se comportera la DS3 R3 sur la terre mais aussi sur l’asphalte italien à l’occasion du Rallye de Sanremo ».
62ème Rallye du Mont Blanc : la CITROËN DS3 R3 a conquis la FranceDe nouveau, la DS3 R3 a brillé. Pour sa deuxième course, la petite dernière de la marque tout juste sortie des ateliers Citroën Racing avait choisi la France et les routes atypiques du Rallye du Mont Blanc. Meilleure « deux roues motrices », elle rafle la victoire dans le groupe R et se positionne directement à la 11ème place du classement général final de l’épreuve.
La DS3 R3 était très attendue, ce week-end, sur le terrain spécifique haut savoyard. Son nom était sur toutes les bouches et le plateau engagé comptait pléthore de grosses autos bien décidées à ne pas la laisser s’immiscer dans le haut du classement. Pourtant, une fois de plus, la DS3 avait rendez-vous avec la performance et a prouvée sa capacité d’adaptation sur un profil totalement différent de ce qu’elle avait connue lors de sa première prestation en Irlande.
Pour cette 62ème édition, le soleil s’était invité venant irradier les alpages majestueux du massif du Mont-Blanc. Menée par l’équipage Kris Meeke / Paul Nagle, la DS3 R3 mettait tout le monde d’accord dés les 12 kilomètres de « Montriond le Lac » en signant le meilleur temps de la catégorie. Evoluant crescendo, elle caracolait à la troisième place du groupe R à l’arrivée du premier tour matinal. L’après-midi, elle haussait le ton en alignant plusieurs meilleurs temps. A l’issue de la première journée, elle prenait la tête des « deux roues motrice » et n’allait plus la quitter jusqu’à la fin du rallye. Le samedi, elle poursuivait sa quête et améliorait ses chronos au fil des kilomètres en creusant l‘écart avec ses adversaires tout en gagnant des places au classement général. Elle s’offrait même un neuvième temps scratch dans la redoutable et redoutée spéciale de « Samoëns-Joux Plane » avant de clôturer une course parfaite lui permettant de se hisser sur la première marche du podium du groupe R.
« La DS3 R3 est bien née. En seulement deux courses, elle affiche deux victoires au compteur » confie Frédéric Bertrand, responsable de la compétition client Citroën Racing. « Kris a fait un super rallye. Il a montré que la voiture est compétitive et fiable d’autant que le niveau était, une fois de plus, très relevé sur cette cinquième manche du Championnat de France. Nous avons procédé à quelques ajustements dans le réglage des suspensions et des freins et nous attendons avec impatience les prochaines courses pour voir comment se comportera la DS3 R3 sur la terre mais aussi sur l’asphalte italien à l’occasion du Rallye de Sanremo ».
13.09.10 Rallye du Japon : Ogier, l’étoile montante au pays du soleil levantSébastien Ogier et Julien Ingrassia ont réalisé un nouvel exploit en remportant le Rallye du Japon pour leur première participation. L’équipage du Citroën Total World Rally Team décroche ainsi sa seconde victoire mondiale au terme d’une course pleine de maîtrise. Cinquièmes, Sébastien Loeb et Daniel Elena marquent de précieux points pour les deux Championnats du Monde.
Nettement plus courte que les deux premières étapes, la troisième journée du Rallye du Japon se composait de huit spéciales, dont six de moins de cinq kilomètres. Après avoir quitté aux aurores le parc d’assistance, qu’ils ne reverraient plus jusqu’à l’arrivée, les équipages prenaient la direction de Sunagawa, à 70 kilomètres au nord de Sapporo.
Du côté du Citroën Total World Rally Team, les deux équipages poursuivaient des objectifs aussi opposés que le Yin et le Yang. Troisième à 5’’4, Sébastien Ogier s’opposait à Petter Solberg et Mikko Hirvonen dans la lutte pour la victoire. Sixième à 37’’9, Sébastien Loeb envisageait plutôt une course d’attente lui permettant de marquer des points le rapprochant un peu plus d’un septième titre mondial. En résumé, c’était ‘banzaï’ pour Ogier et ‘zen’ pour Loeb !
Après la mise en bouche de Bizan, les équipages s’élançaient dans Naekawa (ES20), le juge de paix de cette étape dominicale avec ses 18 kilomètres. C’est à ce moment que Sébastien Ogier dégaînait son katana. Le pilote de la C4 WRC n°2 signait le meilleur temps et reprenait la tête du rallye, qu’il avait quittée à l’issue de l’ES3 : « Cette spéciale était plutôt sèche et j’ai bénéficié de meilleures conditions de route que les deux premiers. C’était à ce moment qu’il fallait faire la différence. »
Sébastien parvenait à creuser l’écart dans Naekawa 2 (ES23). Les 11’’3 d’avance sur Petter Solberg faisaient presque figure de gouffre au vu des écarts enregistrés tout au long du rallye ! « Il va falloir rester concentré jusqu’au bout », prévenait le leader. « Il reste trois petites spéciales, soit trois occasions de faire une erreur rédhibitoire... »
Les trois derniers secteurs chronométrés n’apportaient toutefois pas de modification au classement général et c’est bien le duo Ogier / Ingrassia qui grimpait sur la plus haute marche du podium. « Je suis évidemment très heureux de remporter une nouvelle victoire, ma première pour le Citroën Total World Rally Team. Je ne pouvais rêver mieux pour remercier l’équipe de sa confiance », déclarait Sébastien. « Tout a vraiment fonctionné comme nous le souhaitions ce week-end. Je n’apprécie pas particulièrement ces spéciales, mais j’ai réussi à adapter mon style de pilotage pour être efficace. Je pense avoir franchi un nouveau ‘step’ ce week-end. »
Pari gagné pour Sébastien Ogier, mais également pour Sébastien Loeb qui terminait au cinquième rang après avoir signé trois meilleurs temps lors de cette étape dominicale : « Je n’ai pas été en mesure de me battre pour la victoire, mais je me contente de ces dix points. Quarante-trois points d’avance avec trois rallyes restant à disputer, c’est une situation toujours confortable. Les calculs seront simples pour le Rallye de France, puisque je serai titré si je m’impose, quelque soit le résultat de mes poursuivants ! Je tiens à féliciter Sébastien pour sa victoire, car je peux vous dire que cela n’avait rien d’évident de trouver la bonne dose d’attaque pour aller vite sur ce terrain. »
Nettement plus courte que les deux premières étapes, la troisième journée du Rallye du Japon se composait de huit spéciales, dont six de moins de cinq kilomètres. Après avoir quitté aux aurores le parc d’assistance, qu’ils ne reverraient plus jusqu’à l’arrivée, les équipages prenaient la direction de Sunagawa, à 70 kilomètres au nord de Sapporo.
Du côté du Citroën Total World Rally Team, les deux équipages poursuivaient des objectifs aussi opposés que le Yin et le Yang. Troisième à 5’’4, Sébastien Ogier s’opposait à Petter Solberg et Mikko Hirvonen dans la lutte pour la victoire. Sixième à 37’’9, Sébastien Loeb envisageait plutôt une course d’attente lui permettant de marquer des points le rapprochant un peu plus d’un septième titre mondial. En résumé, c’était ‘banzaï’ pour Ogier et ‘zen’ pour Loeb !
Après la mise en bouche de Bizan, les équipages s’élançaient dans Naekawa (ES20), le juge de paix de cette étape dominicale avec ses 18 kilomètres. C’est à ce moment que Sébastien Ogier dégaînait son katana. Le pilote de la C4 WRC n°2 signait le meilleur temps et reprenait la tête du rallye, qu’il avait quittée à l’issue de l’ES3 : « Cette spéciale était plutôt sèche et j’ai bénéficié de meilleures conditions de route que les deux premiers. C’était à ce moment qu’il fallait faire la différence. »
Sébastien parvenait à creuser l’écart dans Naekawa 2 (ES23). Les 11’’3 d’avance sur Petter Solberg faisaient presque figure de gouffre au vu des écarts enregistrés tout au long du rallye ! « Il va falloir rester concentré jusqu’au bout », prévenait le leader. « Il reste trois petites spéciales, soit trois occasions de faire une erreur rédhibitoire... »
Les trois derniers secteurs chronométrés n’apportaient toutefois pas de modification au classement général et c’est bien le duo Ogier / Ingrassia qui grimpait sur la plus haute marche du podium. « Je suis évidemment très heureux de remporter une nouvelle victoire, ma première pour le Citroën Total World Rally Team. Je ne pouvais rêver mieux pour remercier l’équipe de sa confiance », déclarait Sébastien. « Tout a vraiment fonctionné comme nous le souhaitions ce week-end. Je n’apprécie pas particulièrement ces spéciales, mais j’ai réussi à adapter mon style de pilotage pour être efficace. Je pense avoir franchi un nouveau ‘step’ ce week-end. »
Pari gagné pour Sébastien Ogier, mais également pour Sébastien Loeb qui terminait au cinquième rang après avoir signé trois meilleurs temps lors de cette étape dominicale : « Je n’ai pas été en mesure de me battre pour la victoire, mais je me contente de ces dix points. Quarante-trois points d’avance avec trois rallyes restant à disputer, c’est une situation toujours confortable. Les calculs seront simples pour le Rallye de France, puisque je serai titré si je m’impose, quelque soit le résultat de mes poursuivants ! Je tiens à féliciter Sébastien pour sa victoire, car je peux vous dire que cela n’avait rien d’évident de trouver la bonne dose d’attaque pour aller vite sur ce terrain. »
13.09.10 Rallye du Japon : Dani Sordo termine au pied du podiumDans le groupe de tête de la première à la dernière spéciale, Dani Sordo et Diego Vallejo se classent au quatrième rang du Rallye du Japon avec la C4 WRC du Citroën Junior Team. Kimi Räikkönen et Kaj Lindström ont été contraints à l’abandon lors de la dernière journée.
Parti en quatrième position lors de la dernière matinée, Dani Sordo prenait d’abord l’avantage sur Mikko Hirvonen lors de la première boucle, avant de devoir céder la troisième marche du podium à Jari-Matti Latvala dans Naekawa. « Nous concédons beaucoup de temps dans les parties les plus lentes. Je pense avoir perdu toutes mes chances de victoire dans les deux passages de cette spéciale », lançait, à chaud, l’Espagnol.
En effet, à l’issue de l’ES23, Dani Sordo comptait 33’’7 de retard sur le leader Sébastien Ogier, dont 28’’0 concédés uniquement lors de ces deux chronos.
A nouveau à l’attaque, Dani manquait le scratch dans Sunagawa 2 (ES24) pour seulement 0’’6. Et les deux dernières épreuves spéciales permettaient au pilote du Citroën Junior Team de conforter cette belle quatrième place : « J’ai l’habitude de me focaliser sur les côtés négatifs, mais c’est avec la volonté de progresser. Même si nous avons fait une très belle course en étant dans la bataille pour la victoire jusqu’au bout, je suis déçu de perdre toutes mes chances en si peu de kilomètres. Dans Naekawa, je suis aussi rapide - voire plus rapide - que les autres dans la première partie, comparables aux spéciales finlandaises. Dès que la route devient très sinueuse, je perds beaucoup de temps. Et pourtant, j’essaie d’être le plus précis possible dans mon pilotage. Je dois encore travailler sur ces parties les plus lentes. En dehors de cet aspect, je suis très heureux du résultat et de la manière dont il a été acquis avec le Citroën Junior Team. »
En huitième position sur la route pour cette dernière journée de course, Kimi Räikkönen et Kaj Lindström se faisaient piéger dans la première épreuve spéciale. « J’ai mal compris une note », expliquait Kimi à son retour au parc d’assistance. « C’est une erreur de ma part. L’arrière de la voiture est sorti et s’est posé en contrebas. Nous ne pouvions pas repartir. C’est décevant car lorsque nous avons pu remettre la voiture sur la route, nous avons été en mesure de rentrer par nos propres moyens. Elle n’avait strictement rien. »
« La première matinée fut vraiment difficile car je n’avais pas de bonnes sensations », poursuivait le Finlandais, très acclamé par le public japonais. « Ensuite, grâce au travail de l’équipe, nous avons beaucoup progressé. Sans essais et avec un shakedown sur asphalte, il m’a fallu quelques kilomètres
pour me remettre dans le rythme. Nous avons encore beaucoup appris sur une épreuve que nous découvrions. C’était un parcours difficile avec un profil de spéciales très particulier... ».
Benoit Nogier, Team Manager, concluait : « Dani a éprouvé des difficultés à être performant sur une petite dizaine de kilomètres. Hormis cela, il a été très compétitif avec plusieurs meilleurs temps. Nous l’avons senti impliqué et très motivé. Il s’est bagarré devant, montrant qu’il avait sa place parmi les pilotes officiels. Nous sommes un peu déçus de ne pas voir Kimi à l’arrivée. Il avait fait une course solide hier. Aujourd’hui, nous restons sur notre faim... Sur asphalte, il aura vraisemblablement davantage de facilité. En Alsace, nous profiterons également du retour de Sébastien Ogier avec le Citroën Junior Team : un pilote qui commence à être réputé en Championnat du Monde ! ».
Parti en quatrième position lors de la dernière matinée, Dani Sordo prenait d’abord l’avantage sur Mikko Hirvonen lors de la première boucle, avant de devoir céder la troisième marche du podium à Jari-Matti Latvala dans Naekawa. « Nous concédons beaucoup de temps dans les parties les plus lentes. Je pense avoir perdu toutes mes chances de victoire dans les deux passages de cette spéciale », lançait, à chaud, l’Espagnol.
En effet, à l’issue de l’ES23, Dani Sordo comptait 33’’7 de retard sur le leader Sébastien Ogier, dont 28’’0 concédés uniquement lors de ces deux chronos.
A nouveau à l’attaque, Dani manquait le scratch dans Sunagawa 2 (ES24) pour seulement 0’’6. Et les deux dernières épreuves spéciales permettaient au pilote du Citroën Junior Team de conforter cette belle quatrième place : « J’ai l’habitude de me focaliser sur les côtés négatifs, mais c’est avec la volonté de progresser. Même si nous avons fait une très belle course en étant dans la bataille pour la victoire jusqu’au bout, je suis déçu de perdre toutes mes chances en si peu de kilomètres. Dans Naekawa, je suis aussi rapide - voire plus rapide - que les autres dans la première partie, comparables aux spéciales finlandaises. Dès que la route devient très sinueuse, je perds beaucoup de temps. Et pourtant, j’essaie d’être le plus précis possible dans mon pilotage. Je dois encore travailler sur ces parties les plus lentes. En dehors de cet aspect, je suis très heureux du résultat et de la manière dont il a été acquis avec le Citroën Junior Team. »
En huitième position sur la route pour cette dernière journée de course, Kimi Räikkönen et Kaj Lindström se faisaient piéger dans la première épreuve spéciale. « J’ai mal compris une note », expliquait Kimi à son retour au parc d’assistance. « C’est une erreur de ma part. L’arrière de la voiture est sorti et s’est posé en contrebas. Nous ne pouvions pas repartir. C’est décevant car lorsque nous avons pu remettre la voiture sur la route, nous avons été en mesure de rentrer par nos propres moyens. Elle n’avait strictement rien. »
« La première matinée fut vraiment difficile car je n’avais pas de bonnes sensations », poursuivait le Finlandais, très acclamé par le public japonais. « Ensuite, grâce au travail de l’équipe, nous avons beaucoup progressé. Sans essais et avec un shakedown sur asphalte, il m’a fallu quelques kilomètres
pour me remettre dans le rythme. Nous avons encore beaucoup appris sur une épreuve que nous découvrions. C’était un parcours difficile avec un profil de spéciales très particulier... ».
Benoit Nogier, Team Manager, concluait : « Dani a éprouvé des difficultés à être performant sur une petite dizaine de kilomètres. Hormis cela, il a été très compétitif avec plusieurs meilleurs temps. Nous l’avons senti impliqué et très motivé. Il s’est bagarré devant, montrant qu’il avait sa place parmi les pilotes officiels. Nous sommes un peu déçus de ne pas voir Kimi à l’arrivée. Il avait fait une course solide hier. Aujourd’hui, nous restons sur notre faim... Sur asphalte, il aura vraisemblablement davantage de facilité. En Alsace, nous profiterons également du retour de Sébastien Ogier avec le Citroën Junior Team : un pilote qui commence à être réputé en Championnat du Monde ! ».
03.10.10 Rallye de France (J3) : Loeb, Elena et Citroën Champions du Monde*Le scénario était idéal, encore fallait-il le réaliser. En immobilisant leur Citroën C4 WRC devant l’hôtel de ville d’Haguenau, Sébastien Loeb et Daniel Elena ont remporté leur soixantième victoire en WRC, qui leur assure un septième titre consécutif de Champions du Monde FIA des Rallyes. Au-delà d’une performance unique dans l’histoire du sport automobile, Sébastien Loeb a fait chavirer de bonheur une foule de plus de 300 000 spectateurs, totalement acquise à la cause de l’enfant du pays. Deuxièmes, Dani Sordo et Diego Vallejo permettent au Citroën Total World Rally Team de remporter son sixième titre de Champion du Monde ‘Constructeurs’.
Après deux longues étapes, la troisième journée du Rallye de France emmenait les concurrents au nord de Strasbourg. Disputé sans assistance, le parcours comprenait deux passages dans la spéciale du campmilitaire de Bitche et deux passages dans la spéciale d’Haguenau, la ville qui a vu grandir Sébastien Loeb. Dès le secteur de liaison l’emmenant de Strasbourg à Haguenau pour y disputer la première spéciale urbaine, le futur septuple Champion du Monde des Rallyes était marqué par l’engouement populaire, toujours plus fort : « Il y avait du monde partout, sur le routier et évidemment dans la spéciale. C’est assez émouvant. »
Pour Dani Sordo, le début de la journée était tout aussi émouvant, mais pas pour les mêmes raisons : « Cette petite spéciale n’est pas facile, d’autant que je n’ai pas pris de bonnes notes. Nous avons également rencontré un petit pépin, avec un collier d’eau qui s’est débranché. Nous avons pu réparer. »
Dans la spéciale du Camp de Bitche, Dani Sordo se rassurait en signant le meilleur temps devant Sébastien Loeb : « Nous n’avions pas de temps intermédiaires et c’ tait donc difficile de savoir si l’on roulait sur un bon rythme ou non. Je suis donc presque surpris de signer le meilleur temps ! » Seb, quant à lui, reconnaissait avoir géré son avant : « Sans les ‘splits’, nous avons roulé dans l’inconnu mais je n’ai pas pris le moindre risque dans les parties ultras rapides. »
Après un interminable regroupement à Bitche, les organisateurs annulaient le second passage dans la spéciale du camp militaire. Le rallye s’achevait bien dans les rues d’Haguenau. Enfin, après avoir coupé la ligne d’arrivée, Sébastien Loeb pouvait évacuer la tension et laisser éclater sa joie en grimpant sur le toit de sa C4 WRC : « Mon premier titre mondial restera sans doute le plus beau à mes yeux, mais celui-ci gardera une place particulière dans mon coeur. Nous l’avons conquis à l’issue d’une course terriblement difficile. C’est tout simplement énorme de franchir la ligne d’arrivée dans ma ville natale. C’était vraiment hallucinant de voir autant de monde, je crois que nous n’avions jamais vu autant de
spectateurs sur un rallye ! »
« Ca fait du bien d’en voir le bout », soufflait à son tour Daniel Elena. « Ce parcours était un vrai challenge, mais nous avons déjoué les pièges pour remporter les titres mondiaux, pour nous et pour Citroën. »
Deuxième, Dani Sordo affichait lui aussi un large sourire : « Il faut tout d’abord féliciter Seb et Daniel, qui ont été une nouvelle fois intouchables ce week-end. Nous avons bien roulé ce week-end et nous sommes fiers d’avoir contribué à ce sixième titre mondial pour Citroën. J’espère moi aussi être prophète en mon pays dans quelques semaines ! »
Olivier Quesnel, Directeur de Citroën Racing, pouvait se montrer fier du travail de son équipe et de ses équipages : « Ce qu’a réalisé Sébastien Loeb ce week-end est exceptionnel. Personne ne peut imaginer la pression qu’il avait sur les épaules. Il a su la mettre de côté quand il fallait se concentrer pour aller chercher les meilleurs temps. Il n’avait pas forcément besoin de remporter ce rallye pour être titré, mais son tempérament de gagneur est tel qu’il ne pouvait pas assurer. Il a une nouvelle fois prouvé qu’il est le meilleur pilote actuel. »
« C’est un nouveau jour historique pour Citroën », ajoutait Frédéric Banzet, Directeur de la Marque. « Un doublé et les titres mondiaux chez nous, en France, c’est tout simplement formidable. Ce résultat est celui de la meilleure équipe de rallye du Monde. Je tiens à associer à ces succès les hommes et les femmes qui travaillent dans l’ombre à l’usine Citroën Racing de Versailles, ainsi que tous les collaborateurs de Citroën qui ont contribué à ces nouveaux titres mondiaux. »
* Sous réserve de la publication officielle des résultats par la FIA.
Après deux longues étapes, la troisième journée du Rallye de France emmenait les concurrents au nord de Strasbourg. Disputé sans assistance, le parcours comprenait deux passages dans la spéciale du campmilitaire de Bitche et deux passages dans la spéciale d’Haguenau, la ville qui a vu grandir Sébastien Loeb. Dès le secteur de liaison l’emmenant de Strasbourg à Haguenau pour y disputer la première spéciale urbaine, le futur septuple Champion du Monde des Rallyes était marqué par l’engouement populaire, toujours plus fort : « Il y avait du monde partout, sur le routier et évidemment dans la spéciale. C’est assez émouvant. »
Pour Dani Sordo, le début de la journée était tout aussi émouvant, mais pas pour les mêmes raisons : « Cette petite spéciale n’est pas facile, d’autant que je n’ai pas pris de bonnes notes. Nous avons également rencontré un petit pépin, avec un collier d’eau qui s’est débranché. Nous avons pu réparer. »
Dans la spéciale du Camp de Bitche, Dani Sordo se rassurait en signant le meilleur temps devant Sébastien Loeb : « Nous n’avions pas de temps intermédiaires et c’ tait donc difficile de savoir si l’on roulait sur un bon rythme ou non. Je suis donc presque surpris de signer le meilleur temps ! » Seb, quant à lui, reconnaissait avoir géré son avant : « Sans les ‘splits’, nous avons roulé dans l’inconnu mais je n’ai pas pris le moindre risque dans les parties ultras rapides. »
Après un interminable regroupement à Bitche, les organisateurs annulaient le second passage dans la spéciale du camp militaire. Le rallye s’achevait bien dans les rues d’Haguenau. Enfin, après avoir coupé la ligne d’arrivée, Sébastien Loeb pouvait évacuer la tension et laisser éclater sa joie en grimpant sur le toit de sa C4 WRC : « Mon premier titre mondial restera sans doute le plus beau à mes yeux, mais celui-ci gardera une place particulière dans mon coeur. Nous l’avons conquis à l’issue d’une course terriblement difficile. C’est tout simplement énorme de franchir la ligne d’arrivée dans ma ville natale. C’était vraiment hallucinant de voir autant de monde, je crois que nous n’avions jamais vu autant de
spectateurs sur un rallye ! »
« Ca fait du bien d’en voir le bout », soufflait à son tour Daniel Elena. « Ce parcours était un vrai challenge, mais nous avons déjoué les pièges pour remporter les titres mondiaux, pour nous et pour Citroën. »
Deuxième, Dani Sordo affichait lui aussi un large sourire : « Il faut tout d’abord féliciter Seb et Daniel, qui ont été une nouvelle fois intouchables ce week-end. Nous avons bien roulé ce week-end et nous sommes fiers d’avoir contribué à ce sixième titre mondial pour Citroën. J’espère moi aussi être prophète en mon pays dans quelques semaines ! »
Olivier Quesnel, Directeur de Citroën Racing, pouvait se montrer fier du travail de son équipe et de ses équipages : « Ce qu’a réalisé Sébastien Loeb ce week-end est exceptionnel. Personne ne peut imaginer la pression qu’il avait sur les épaules. Il a su la mettre de côté quand il fallait se concentrer pour aller chercher les meilleurs temps. Il n’avait pas forcément besoin de remporter ce rallye pour être titré, mais son tempérament de gagneur est tel qu’il ne pouvait pas assurer. Il a une nouvelle fois prouvé qu’il est le meilleur pilote actuel. »
« C’est un nouveau jour historique pour Citroën », ajoutait Frédéric Banzet, Directeur de la Marque. « Un doublé et les titres mondiaux chez nous, en France, c’est tout simplement formidable. Ce résultat est celui de la meilleure équipe de rallye du Monde. Je tiens à associer à ces succès les hommes et les femmes qui travaillent dans l’ombre à l’usine Citroën Racing de Versailles, ainsi que tous les collaborateurs de Citroën qui ont contribué à ces nouveaux titres mondiaux. »
* Sous réserve de la publication officielle des résultats par la FIA.