Humour etcetera.
Al1
Lion Extra
Lion Extra
Messages : 1062
Enregistré le : 17 nov. 2003 09:53
Localisation : CAMP Est de la France
Hello!
Ici le CAMPeur déchaîné, nos bureaux parisiens nous communiquent ce qui suit:
Le nouveau président du CAMP, soucieux de conserver des archives les plus étoffées possible pour le CAMP a décidé de faire réaliser par les plus grands peintres (pas seulement des flamands - pas si primitifs que ça d'ailleurs - aussi des français ou d'autres nationalités) des portraits des responsables du CAMP.
La première toile vient d'être accrochée aux murs des locaux du CAMP à Paris. On reconnaît aisément le trésorier. L'artiste l'a représenté bien concentré, probablement s'apprêtant à se plonger dans la trésorerie du club, ceci dans son bureau, bien silencieux, sans téléphone. L'ambiance est manifestement sérieuse, studieuse... Il y aurait encore beaucoup à dire.
Mais le CAMPeur déchaîné vous propose de contribuer à en dire plus. Faites-nous part de ce que vous inscririez dans une bulle (façon BD) ou de ce qui, à votre avis, est inscrit dans la petite note en bas à gauche de la toile...
Bonne cogitation! Nous attendons vos réponses, vos suggestions.
Dans l'avenir, d'autres portraits vont suivre n'en doutons pas!
À bientôt.
Ici le CAMPeur déchaîné. à vous les studios.
Ici le CAMPeur déchaîné, nos bureaux parisiens nous communiquent ce qui suit:
Le nouveau président du CAMP, soucieux de conserver des archives les plus étoffées possible pour le CAMP a décidé de faire réaliser par les plus grands peintres (pas seulement des flamands - pas si primitifs que ça d'ailleurs - aussi des français ou d'autres nationalités) des portraits des responsables du CAMP.
La première toile vient d'être accrochée aux murs des locaux du CAMP à Paris. On reconnaît aisément le trésorier. L'artiste l'a représenté bien concentré, probablement s'apprêtant à se plonger dans la trésorerie du club, ceci dans son bureau, bien silencieux, sans téléphone. L'ambiance est manifestement sérieuse, studieuse... Il y aurait encore beaucoup à dire.
Mais le CAMPeur déchaîné vous propose de contribuer à en dire plus. Faites-nous part de ce que vous inscririez dans une bulle (façon BD) ou de ce qui, à votre avis, est inscrit dans la petite note en bas à gauche de la toile...
Bonne cogitation! Nous attendons vos réponses, vos suggestions.
Dans l'avenir, d'autres portraits vont suivre n'en doutons pas!
À bientôt.
Ici le CAMPeur déchaîné. à vous les studios.
Léonard de V.
Il suffit de prendre une loupe pour lire la note en bas à gauche :
"Cette peinture est l'oeuvre d'un artiste inconnu.
Appelée "CAMPAGNON A L'OUVRAGE", cette toile a été découverte dans la cave d'un collectionneur belge en octobre 2005.
Le peintre, qui devait être un contemporain du flamand Brüegel ou du hollandais Vermeer, artistes des XVI et XVII siècles, a tenté de restituer le dur labeur d'un bourgeois de l'époque. Tout porte à croire que ce personnage devait être un membre important d'une quelconque confrérie. Le document posé devant lui semble l'attester.
Le jeu d'ombres et de lumière ne fait aucun doute sur l'authenticité de la peinture. C'est une véritable d'oeuvre d'art d'une valeur inestimable.
Nul doute qu'elle va avoir une influence posthume sur des générations entières de collectionneurs".
Ars longa, vita brevis. L'art est long, la vie est courte.
"Cette peinture est l'oeuvre d'un artiste inconnu.
Appelée "CAMPAGNON A L'OUVRAGE", cette toile a été découverte dans la cave d'un collectionneur belge en octobre 2005.
Le peintre, qui devait être un contemporain du flamand Brüegel ou du hollandais Vermeer, artistes des XVI et XVII siècles, a tenté de restituer le dur labeur d'un bourgeois de l'époque. Tout porte à croire que ce personnage devait être un membre important d'une quelconque confrérie. Le document posé devant lui semble l'attester.
Le jeu d'ombres et de lumière ne fait aucun doute sur l'authenticité de la peinture. C'est une véritable d'oeuvre d'art d'une valeur inestimable.
Nul doute qu'elle va avoir une influence posthume sur des générations entières de collectionneurs".
Ars longa, vita brevis. L'art est long, la vie est courte.
Monsieur X de Bruxelles
Bijour,
Puisque personne n'ose, je me lance...
Voici ma proposition de bulle, c'est un mélange de "petit nègre" avec le deuxième verbe en anglais.
"Con-table kiné fé rien bee zen, mé dit-dié bétises"
Ok, je sais, c'est très très mauvais.
C’est pour cela que je le fais d'une façon anonyme.
zero
Puisque personne n'ose, je me lance...
Voici ma proposition de bulle, c'est un mélange de "petit nègre" avec le deuxième verbe en anglais.
"Con-table kiné fé rien bee zen, mé dit-dié bétises"
Ok, je sais, c'est très très mauvais.
C’est pour cela que je le fais d'une façon anonyme.
zero
Ah ! Je constate enfin que le niveau culturel de ce forum devient digne de ses membres. J'ai donc décidé de vous faire profiter également d'une toile de maître, un maître flamand cette fois : Rolbrandt dont l'auto-portrait me paraît tout indiqué pour complèter la galerie du CAMP.
Comme je suis toujours infoutu de poster une photo sur ce forum moi-même, je l'envoie au webmaître qui s'en chargera.
Lt Colionbo
Comme je suis toujours infoutu de poster une photo sur ce forum moi-même, je l'envoie au webmaître qui s'en chargera.
Lt Colionbo
Léonard de V.
Les origines belges de cette oeuvre ne font aucun doute, les accessoires en bas à droite de la toile en témoignent.
Une fois encore, le personnage central nous interpelle.
L'artiste a-t'il "imaginé" ce sourire ou le personnage avait-il, de manière naturelle, l'hilarité aussi débordante ?
Peut-être que la perspective de déguster, à la fin de la pose, les objets situés à côté de lui devait le remplir de bonheur.
Ou peut-être regardait-il la RTBF ?
Nul ne le saura.
Quoi qu'il en soit, on peut louer le génie du peintre qui a su faire de ce personnage un modèle du genre.
Cette toile, intitulée "LA SOIF DU PRESIDENT", est aujourd'hui au CAMP ce que le RSC Anderlecht est au football belge : elle fait partie du patrimoine !
Nunc est bibendum. C'est maintenant qu'il faut boire.
Une fois encore, le personnage central nous interpelle.
L'artiste a-t'il "imaginé" ce sourire ou le personnage avait-il, de manière naturelle, l'hilarité aussi débordante ?
Peut-être que la perspective de déguster, à la fin de la pose, les objets situés à côté de lui devait le remplir de bonheur.
Ou peut-être regardait-il la RTBF ?
Nul ne le saura.
Quoi qu'il en soit, on peut louer le génie du peintre qui a su faire de ce personnage un modèle du genre.
Cette toile, intitulée "LA SOIF DU PRESIDENT", est aujourd'hui au CAMP ce que le RSC Anderlecht est au football belge : elle fait partie du patrimoine !
Nunc est bibendum. C'est maintenant qu'il faut boire.
Monsieur X de Bruxelles
Mon cher Léonard, tu m’as l’air bien fatigué …
Tu ne reconnais même plus ton travail, ce n’est pas du tout l’œuvre dont tu parles !
Il s’agit de : « La Joke Onde du 6 mai » que tu peignis un soir de beuverie lors de ton séjour dans le Sud de la Belgique.
Tu avais tellement abusé de la bière locale que l’acheteur du tableau, le Duc Ronald de Sirtap compris comme nom : « la Joconde de Chimay »
Et c’est sous ce nom là qu’il fut connu à travers les siècles, bien avant celle de Millau dont on fait tout un pont !
La famille du Duc a toujours conservé ce tableau dans la famille. Lors de la révolution de 1830, ils furent obligés de prendre un pseudonyme qui était en réalité une anagramme de leur nom.
Alors, arrête de picoler et de prétendre que Monsieur Nunc est Bibendum, ou Michelin te fera un procès.
Tu ne reconnais même plus ton travail, ce n’est pas du tout l’œuvre dont tu parles !
Il s’agit de : « La Joke Onde du 6 mai » que tu peignis un soir de beuverie lors de ton séjour dans le Sud de la Belgique.
Tu avais tellement abusé de la bière locale que l’acheteur du tableau, le Duc Ronald de Sirtap compris comme nom : « la Joconde de Chimay »
Et c’est sous ce nom là qu’il fut connu à travers les siècles, bien avant celle de Millau dont on fait tout un pont !
La famille du Duc a toujours conservé ce tableau dans la famille. Lors de la révolution de 1830, ils furent obligés de prendre un pseudonyme qui était en réalité une anagramme de leur nom.
Alors, arrête de picoler et de prétendre que Monsieur Nunc est Bibendum, ou Michelin te fera un procès.
Al1
Lion Extra
Lion Extra
Messages : 1062
Enregistré le : 17 nov. 2003 09:53
Localisation : CAMP Est de la France
Ici les archives du CAMP, plus exactement la galerie des portraits du CAMP...
Cette fois, c’est un autre CAMPagnon qui fait son entrée dans la galerie du CAMP. Le conservateur nous dit que quand on s’approche on remarque l’insigne qui semble indiquer l’appartenance à la même confrérie que celle du premier modèle (voir plus haut). Un détail spécifique est le premier bouton de la chasuble :
ceci indique sans nul doute que nous avons affaire à un « grand communicateur ». Le modèle pourrait donc être ou avoir été LE webmestre de la confrérie en question.
Gageons que mon confrère L. de Vesoul... (ou de Vierzon?) nous en dira plus prochainement.
Ici le CAMPeur déchaîné. À vous les studios.
Cette fois, c’est un autre CAMPagnon qui fait son entrée dans la galerie du CAMP. Le conservateur nous dit que quand on s’approche on remarque l’insigne qui semble indiquer l’appartenance à la même confrérie que celle du premier modèle (voir plus haut). Un détail spécifique est le premier bouton de la chasuble :
ceci indique sans nul doute que nous avons affaire à un « grand communicateur ». Le modèle pourrait donc être ou avoir été LE webmestre de la confrérie en question.
Gageons que mon confrère L. de Vesoul... (ou de Vierzon?) nous en dira plus prochainement.
Ici le CAMPeur déchaîné. À vous les studios.
Al1
Lion Extra
Lion Extra
Messages : 1062
Enregistré le : 17 nov. 2003 09:53
Localisation : CAMP Est de la France
Voilà! La toile suivante vient d'être accrochée:
Pour une fois, j'ai le texte de la notice, qui indique :
L’artiste (il ne s’agit pas cette fois d’un autoportrait) a intitulé sa toile « ROLANDY » l’hommage à Andy WARHOL est évident. Cela laisse supposer que le modèle pourrait s’appeler Roland… L’artiste, disciple d’Andy WARHOL, a représenté son modèle d’une manière répétitive. Comme Andy WARHOL l’avait fait pour, entre autres, CHE GUEVARA. Certainement pas pour les mêmes raisons! Sans doute, ici, l’artiste a-t-il voulu indiquer par là que le modèle était collectionneur. Il a multiplié les représentations de son modèle, en évitant toutefois les doubles (comme le fait un collectionneur) mais en multipliant les variantes. Ce sont ces variantes qui font le plaisir du collectionneur qui chine longuement à la recherche de la variante qu’il ne possède pas encore.
Mais cette méthode permet aussi de satisfaire tout un chacun, en lui proposant forcément LA version qui lui plait. Certains préféreront la veste rose, d’autres la chemise grise (« où l’as-tu mise » ?) Bref, quels que soient les goûts du visiteur, l’artiste lui propose LA version qui le satisfait. Chaque variante illustrant probablement une des facettes de la personnalité du modèle ?
Bref, nous avons donc dans la galerie du CAMP un premier échantillon de « POP ART ». Nous en découvrirons un autre… mais plus tard.
Ici le CAMPeur déchaîné. À vous les studios!
Pour une fois, j'ai le texte de la notice, qui indique :
L’artiste (il ne s’agit pas cette fois d’un autoportrait) a intitulé sa toile « ROLANDY » l’hommage à Andy WARHOL est évident. Cela laisse supposer que le modèle pourrait s’appeler Roland… L’artiste, disciple d’Andy WARHOL, a représenté son modèle d’une manière répétitive. Comme Andy WARHOL l’avait fait pour, entre autres, CHE GUEVARA. Certainement pas pour les mêmes raisons! Sans doute, ici, l’artiste a-t-il voulu indiquer par là que le modèle était collectionneur. Il a multiplié les représentations de son modèle, en évitant toutefois les doubles (comme le fait un collectionneur) mais en multipliant les variantes. Ce sont ces variantes qui font le plaisir du collectionneur qui chine longuement à la recherche de la variante qu’il ne possède pas encore.
Mais cette méthode permet aussi de satisfaire tout un chacun, en lui proposant forcément LA version qui lui plait. Certains préféreront la veste rose, d’autres la chemise grise (« où l’as-tu mise » ?) Bref, quels que soient les goûts du visiteur, l’artiste lui propose LA version qui le satisfait. Chaque variante illustrant probablement une des facettes de la personnalité du modèle ?
Bref, nous avons donc dans la galerie du CAMP un premier échantillon de « POP ART ». Nous en découvrirons un autre… mais plus tard.
Ici le CAMPeur déchaîné. À vous les studios!
Après le "MOMA" de New York où exposait l'amateur de Campbell soup, c'est dans la banlieue de Bruxelles, à Waterloo très exactement, que je vous convie pour contempler la fin d'un empire : ce tableau célèbre s'intitule officiellement "Napoléon au milieu de ses vices" mais il est plus connu sous le titre "Après la marche de l'Empereur et de ses pingouins". On peut y lire tout le drame qui se joue à l'occasion du sacrifice des ultimes miniatures "Altelà" des débris de la Grande Armée qui finissent de se consumer dans le feu derrière l'Empereur afin de ne pas tomber aux mains de l'ennemi.
Lt Colionbo
Lt Colionbo
Léonard de V.
Lu sous le tableau accroché par Al1 le 22/03/06 :
L'histoire de cette peinture est peu banale.
Antoine Watteau (1684-1721), alors peintre peu connu, recherchait un modèle pour, disait-il, marquer l'histoire de la peinture.
Il eu une idée de génie (pour l'époque). Il mit une petite annonce sur un site internet appelé CAMP (Club des Amateurs de Mauvaises Peintures).
Une personne y répondit. Elle se présenta comme étant le "Ouebmaître" et pensait profiter de cette occasion pour faire la publicité pour son site.
Rendez-vous fut pris. A Paris, lors d'un salon appelé "Rétropeinture", ils firent connaissance. De fait, le ouebmaître posa et Watteau fit effectivement la peinture qui le rendit célèbre. A l'origine, le peintre voulu l'appeler "ROGER" mais finalement opta pour "PIERROT".
Nul ne sait ce que devint le modèle. On imagine qu'il retourna à ses sombres occupations.
Aujourd'hui encore, le mystère du symbole métaphysique apposé sur sa veste reste entier. Watteau fut même accusé d'avoir copié ce symbole, aperçu sur une oeuvre d'un contemporain de Brüegel quelques années auparavant.
Abusus non tollit usum. L'abus n'enlève pas l'usage
L'histoire de cette peinture est peu banale.
Antoine Watteau (1684-1721), alors peintre peu connu, recherchait un modèle pour, disait-il, marquer l'histoire de la peinture.
Il eu une idée de génie (pour l'époque). Il mit une petite annonce sur un site internet appelé CAMP (Club des Amateurs de Mauvaises Peintures).
Une personne y répondit. Elle se présenta comme étant le "Ouebmaître" et pensait profiter de cette occasion pour faire la publicité pour son site.
Rendez-vous fut pris. A Paris, lors d'un salon appelé "Rétropeinture", ils firent connaissance. De fait, le ouebmaître posa et Watteau fit effectivement la peinture qui le rendit célèbre. A l'origine, le peintre voulu l'appeler "ROGER" mais finalement opta pour "PIERROT".
Nul ne sait ce que devint le modèle. On imagine qu'il retourna à ses sombres occupations.
Aujourd'hui encore, le mystère du symbole métaphysique apposé sur sa veste reste entier. Watteau fut même accusé d'avoir copié ce symbole, aperçu sur une oeuvre d'un contemporain de Brüegel quelques années auparavant.
Abusus non tollit usum. L'abus n'enlève pas l'usage
Léonard de V.
Personne n'a commenté le tableau accroché par Roger le 21/03/06.
Le visage du modèle donne une impression de déjà vu. Pourtant, c'est une oeuvre unique en son genre.
La luminosité des pastels, le choix des couleurs et la posture du personnage permettent d'accentuer ce qui fait la richesse de cette toile, c'est-à-dire les nich... euh, la poitrine.
L'artiste devait être audacieux et révolutionnaire pour oser peindre ce qui ne se montrait pas à l'époque : une paire de lunettes !
De plus, la chevelure du modèle rappelle une crinière de lion, d'où son assimilation à un célèbre constructeur automobile qui utilise cet animal comme emblème.
Ainsi cette toile fut baptisée "POUR QUE CE SOIT UN PLAISIR" !
Quia nominor leo. Parce que je m'appelle Lion (Phèdre, acte I, scène 5).
Enfin, pour répondre à M. X de Bruxelles, je n'ai pas le souvenir d'avoir un jour mis les pieds en Belgique-Sud (où alors, j'en tenais une bonne).
Je ne connais pas cette région, ayant toujours placé Chimay entre Leffe et Affligem (du moins, chez Super U; chez Cora ou Leclerc, je ne connais pas la disposition dans les rayons)
Le visage du modèle donne une impression de déjà vu. Pourtant, c'est une oeuvre unique en son genre.
La luminosité des pastels, le choix des couleurs et la posture du personnage permettent d'accentuer ce qui fait la richesse de cette toile, c'est-à-dire les nich... euh, la poitrine.
L'artiste devait être audacieux et révolutionnaire pour oser peindre ce qui ne se montrait pas à l'époque : une paire de lunettes !
De plus, la chevelure du modèle rappelle une crinière de lion, d'où son assimilation à un célèbre constructeur automobile qui utilise cet animal comme emblème.
Ainsi cette toile fut baptisée "POUR QUE CE SOIT UN PLAISIR" !
Quia nominor leo. Parce que je m'appelle Lion (Phèdre, acte I, scène 5).
Enfin, pour répondre à M. X de Bruxelles, je n'ai pas le souvenir d'avoir un jour mis les pieds en Belgique-Sud (où alors, j'en tenais une bonne).
Je ne connais pas cette région, ayant toujours placé Chimay entre Leffe et Affligem (du moins, chez Super U; chez Cora ou Leclerc, je ne connais pas la disposition dans les rayons)